Meunier, le maître atout

Le Virtonais s’impose de plus en plus, tant en championnat qu’en Coupe d’Europe

À Birmingham, Thomas Meunier a justifié, une fois encore, la préséance sur Refaelov que lui avait accordée Adrie Koster et qu’a confirmée Rudi Verkempinck. Les 3.000 supporters brugeois présents à St Andrew’s ont même, un moment, scandé son nom.

Le Virtonais a réussi, beaucoup plus rapidement que prévu et même plus vite qu’il l’avait espéré, sa trouée dans la nouvelle formation brugeoise. “Je traverse une bonne période”, confirme-t-il sobrement.

Il l’égaie en alimentant régulièrement son compte buts et en assumant avec abnégation sa part de travail défensif.

Thomas Meunier a vécu intimement, comme acteur, les déboires récents du Club Bruges.

Il est prêt à considérer que le partage concédé à Birmingham attise, enfin, une lueur d’espérance de redressement car il ne lui apparaît pas de la même aune que les fins de match gâchées à Courtrai, à La Gantoise et contre Genk. “Ne nous y trompons pas : ce 2-2 en Angleterre constitue un bon résultat. Au repos, nous étions fermement résolus à continuer de jouer le plus haut possible pour confirmer notre volonté de gagner. Si nous ne l’avons pas fait c’est parce que nous n’avons pas pu le faire. C’est l’intensité de la pression que nous imposait Birmingham qui nous a forcés à reculer. Mais si je décèle des signes encourageants dans ce partage, c’est parce que, cette fois, nous ne nous sommes pas désunis. L’équipe a continué de faire bloc sous la charge anglaise et a toujours guetté l’occasion de repartir de l’avant. La preuve, c’est que la pression finale, c’est nous qui l’avons imposée. Le 2-2 ne peut donc nous être imputé : il récompense seulement les mérites de l’équipe anglaise.”

Avant ce déplacement finalement négocié avec un certain bonheur, surtout compte tenu des circonstances, Rudi Verkempinck avait annoncé : “Je pense qu’avec quatre points au terme des trois derniers matches, nous nous qualifierons.”

Le Club n’en a glané qu’un. Quatre points auraient suffi si Bruges s’était imposé à Birmingham. Tout pourrait à présent se décider lors du dernier match contre Braga.

Rafaelov sur le banc, encore la preuve que la race juive n'a vraiment pas le niveau du championnat de belgique !!!!! gazzzzzzzzzzz

rafaelov comme Buzaglo ont de belles qualités techniques mais il faut qu'il s'adapte au championnat et sa ne se fait pas en peu de temps, notre championnat est plus physique qu'en israel.

par contre Meunier est une belle trouvaille, il apporte un plus a Bruges, mais laissons lui le temps d'évoluer, il est encore jeune.