Herman Van Holsbeeck s’est voulu rassurant quant à l’état médical de Vargas
ANDERLECHT Herman Van Holsbeeck dévoile les coulisses du transfert et du mercato mauve .
Les négociations : “À cinq millions, on ne pouvait pas payer. Puis la situation s’est dégradée entre le Club et Vargas. Bruges est alors revenu vers nous et nous avons laissé le temps faire son œuvre. Au final, c’est une aubaine. Si nous avions voulu faire ce transfert il y a huit mois, quand il était en plein boum, il nous aurait sûrement coûté sept ou huit millions d’euros !”
Le profil de Vargas : “La saison dernière, on nous a souvent reproché, à juste titre, de n’avoir que des porteurs d’eau dans l’équipe. Vargas peut nous emmener la créativité qui nous manquait. Le staff technique est ravi de pouvoir compter dans le futur sur un joueur de ce profil.”
L’état médical du joueur : “Quand on débourse une telle somme, on se renseigne forcément sur la blessure du joueur. Nous nous sommes informés auprès de son chirurgien et nous avons pris nos garanties. Même s’il est évident que sans cette blessure, ce transfert aurait été impossible. Nous espérons qu’il sera prêt pour septembre, mais nous ne prendrons aucun risque.”
Ses prétentions salariales : “Certains ont prétendu que Vargas était un homme d’argent, mais c’est faux. J’ai vu ce qu’il pouvait gagner en Russie et je peux vous dire que c’était un montant bien supérieur à celui qu’il percevra ici...”
La suite du mercato : “Je pars en vacances ce jeudi matin, sauf si Chelsea me donne un coup de fil! Je sens qu’on va encore vivre beaucoup de surprises et de rebondissements dans ce mercato.”
MOUAAARF